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Homme in sentence

47 examples of Homme in a sentence

Alexandre's affected and pretentious monologues have a kind of amusement value, of course, but the amusement wears thin as one comes more and more clearly to realize that Jean-Pierre Léaud is most likely not even acting and that, with absurd remarks like "un homme beau comme un film de Nicholas Ray", he really was just reproducing word-for-word opinions that were accepted as authentic and profound by the milieu in which he, along with the director Eustache, had been living for about ten years by the time of the making of the film.
The tall, distinguished 73-year-old art collector, homme d’affaires, and philanthropist was clear-minded about a number of issues, even on five hours of sleep.
'C'est un homme qui n'a pas...'[That's a man who has not...] began the chamberlain, but stopped short to make way for and to bow to a member of the Imperial family who passed by.
while one of forty was un jeune homme.
Comme il l’abordait, Fabrice l’entendit qui disait :– Il était pourtant bien bel homme !
Fabrice exagérait comme tout homme indigné.
Pendant les quinze jours que Fabrice passa dans l’auberge d’Amiens, tenue par une famille complimenteuse et avide, les alliés envahissaient la France, et Fabrice devint comme un autre homme, tant il fit de réflexions profondes sur les choses qui venaient de lui arriver.
– Un homme comme moi ne prend pas de passeport pour aller de Milan voir le lac.
– Mais tu vois bien, lui disait la comtesse, que le baron Binder sait que ton fils est ici ; cet homme n’est point méchant.
Elle retourna dans cette loge le lendemain : cet homme d’esprit revint, et, tout le temps du spectacle, elle lui parla avec plaisir.
un homme comme vous, aimable, encore jeune et qui a fait la guerre en Espagne avec nous !
La franchise, la disenvoltura avec laquelle parlait ce ministre d’un prince si redouté piqua la curiosité de la comtesse ; sur son titre elle avait cru trouver un pédant plein d’importance, elle voyait un homme qui avait honte de la gravité de sa place.
Au milieu de ce trouble universel, la comtesse fit des questions sur le compte d’un homme qui parlait si lestement d’une place si enviée et qui était sa seule ressource.
Elle trouva un homme d’une taille élevée, mais un peu épaisse ; ses cheveux, ses moustaches, ses énormes favoris étaient d’un beau blond selon ses courtisans ; ailleurs ils eussent provoqué, par leur couleur effacée, le mot ignoble de “filasse”.
Ce prince n’était point un méchant homme, quoi qu’en pussent dire les libéraux d’Italie.
Le jeune homme, animé par le danger, eut le bonheur de trouver des réponses admirables :– C’est presque de l’insolence que d’afficher de l’amour pour son roi, disait-il, c’est de l’obéissance aveugle qu’on lui doit.
– J’entends, dit Fabrice, notre homme est un Tartufe.
Vous, vous serez bon homme !
Fabrice regarda cet homme et le reconnut un peu.
– Pauvre jeune homme !
Un grand jeune homme entra dans la boutique par une porte intérieure, il était mis avec une certaine élégance.
Le grand mal de votre affaire, c’est qu’aucun homme entendu n’est chargé en chef des démarches nécessaires pour mettre au jour votre innocence et déjouer les tentatives faites pour suborner des témoins.
un homme comme moi n’est pas fait pour lui céder.
Mais que dirait ce jeune homme ?
– Je n’en sais rien en vérité, Altesse Sérénissime, répondit le comte de l’air d’un homme qui rend le dernier soupir.
Le duc se promenait dans son cabinet comme un homme furieux.
le pauvre jeune homme !
Le pauvre homme !
– Quel homme est-ce que Dugnani, vicaire de Saint-Paul ?
dit cet homme avec l’air de la bonté ; cachés, éclipsés, anéantis comme tout le reste.